
L’interopérabilité des administrations et des acteurs qui interviennent dans le processus des échanges commerciaux entre pays africains reste primordiale, notamment face à l’avancée des technologies numériques et à l’opérationnalisation de la Zone de libre-échange continental africain (Zlecaf). La remarque a été faite lundi, lors du Forum national sur la facilitation des échanges tenu à Diamniadio.
« Transformer une chaîne logistique ne se limite pas à déployer une plateforme. Il faut penser à l’interopérabilité des systèmes. Garantir la fiabilité des flux d’informations, renforcer la résilience, passer aux cybermenaces et intégrer la durabilité à chaque moyen », a relevé le secrétaire général du ministère de l’Industrie et du Commerce du Sénégal, Seydina Aboubacar Sadikh Ndiaye.
Représentant le ministre Serigne Gueye à cette occasion, M. Ndiaye a indiqué qu’il faut aussi investir dans les compétences, former des talents capables de piloter les technologies, d’analyser les données, d’innover au service du commerce et de la logistique.
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